La 14e édition du prix HIPA 2025 a mis à l’honneur une vision puissante et authentique du monde arabe.
Nostalgique des Polaroid instantané ? Voilà ce que tu dois retenir :
- 📸 Point clé #1 : Un regard narratif sur le patrimoine culturel.
- 🛠️ Point clé #2 : L’indépendance dans la formation via des ateliers autofinancés.
- ⚠️ Point clé #3 : Ne pas sous-estimer l’importance d’un fonds d’archives solide.
- 🎯 Point clé #4 : Viser l’expansion régionale pour léguer un héritage vivant.
L’impact de HIPA 2025 sur la scène photographique mondiale
Le thème « Le pouvoir » de cette édition a suscité des œuvres puissantes, explorant l’influence des traditions et de l’identité. Pour la première fois, HIPA 2025 a mis en lumière la région arabe via un concours photo ouvert à tous les styles. Ce mélange de photographie artistique et de photographie contemporaine a attiré plus de 15 000 soumissions de plus de 100 pays.
Les retombées médiatiques ont été impressionnantes :
- 🌍 Une couverture internationale relayée par GCC News et Middle East Bulletin.
- 🏅 Des prix spéciaux remettant en valeur des figures comme Rick Smolan et Mark Smith via HIPA Special Awards.
- 📈 Un million de dollars de dotation, stimulant les projets ambitieux, comme l’analyse sur PetaPixel.
Cet engouement confirme l’importance du concours photo dans l’écosystème photographique global : d’une part, il offre une vitrine inégalée pour les photographes professionnels, et d’autre part, il propulse le public à (re)découvrir la puissance visuelle des cultures. De nombreuses publications, dont L’Œil de la Photographie, ont détaillé les travaux lauréats à travers des analyses approfondies.
| 📅 Étape | 🔢 Nombre | 🌐 Portée |
|---|---|---|
| Soumissions | 15 000+ | 100+ pays |
| Candidats finalistes | 50 | Global |
| Dotation | 1 000 000 $ | International |
- ✅ Détection des talents émergents.
- ✅ Valorisation du patrimoine arabe.
- ✅ Renforcement des réseaux professionnels.
Insight : HIPA 2025 confirme que mettre en réseau le local et le global permet de faire rayonner davantage la photographie comme vecteur culturel puissant.
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Le parcours inspirant de Salim Al-Hajri, Photographe de l’Année
Né en Oman, Salim Al-Hajri a cultivé sa passion dès l’enfance à travers des voyages familiaux et la lecture de magazines. Son premier appareil professionnel date de 2014 ; quatre ans plus tard, il tenait déjà son propre atelier. En 2019, son premier prix majeur en Oman a tracé la voie d’une carrière fulgurante.
Quelques jalons clés :
- 🎓 2018 : Organisation du premier atelier autofinancé.
- 🏆 2019 : Premier succès lors d’un concours national.
- 📚 Fonds d’archives de plus de 6 000 images.
- 🌴 Publication dans National Geographic sur la production traditionnelle de dattes.
| 📆 Année | 🏅 Réalisations | 🌟 Impact |
|---|---|---|
| 2014 | Achat du premier boîtier pro | Déclic narratif |
| 2018 | Premier atelier (autofinancé) | Transmission culturelle |
| 2019 | Prix national | Reconnaissance locale |
Pour aller plus loin, tu peux consulter la présentation de son titre sur Muscat Daily ou son profil relayé par IASA Arabia.
Phrase-clé : Son parcours démontre que l’engagement et l’indépendance financière sont les piliers d’une carrière photographique durable et inspirante.
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Analyse des œuvres primées et exemples marquants
Les images de Salim capturent l’essence du patrimoine omanais et arabe. Elles oscillent entre grand format désertique, portraits intimes et scènes de vie villageoise. Chaque cliché raconte une histoire, faisant du photographe professionnel un véritable conteur visuel.
- 🏜️ Désert des Wahiba Sands : ambiance onirique et jeux de lumière.
- 🐪 Vie bédouine : portraits authentiques, humanité brute.
- 🌴 Ateliers de dattes : mise en valeur d’un savoir-faire ancestral.
- 🎠 Tbourida au Maroc : mouvement et traditions équestres.
| 📷 Série | 📍 Lieu | 🔍 Thématique |
|---|---|---|
| We Are Oman | Oman | Identité nationale |
| Sharqiyah Sands | Wahiba Sands | Désert & culture |
| Tbourida Stories | Maroc | Tradition équestre |
Une analyse détaillée sur The Arabian Stories met en lumière les techniques de composition et d’éclairage qui rendent ces images si saisissantes.
Insight : Chaque projet de Salim illustre le pouvoir de la photographie comme témoignage vivant et mémoire collective.
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Les ateliers et la transmission culturelle selon Salim Al-Hajri
Au-delà de l’objectif, Salim a créé une dynamique régionale grâce à ses ateliers autofinancés. Plus de 3 000 participants ont exploré avec lui :
- 🏜️ Immersion dans le désert omanais.
- 📖 Études de cas sur la photographie de reportage.
- 🤝 Échanges multiculturels avec des photographes du Golfe.
- 📸 Pratique terrain et retours personnalisés.
| 🏷️ Atelier | 📅 Fréquence | 👥 Participants |
|---|---|---|
| Sharqiyah Sands | Annuel | 500+ |
| Tbourida Maroc | Biannuel | 300+ |
| We Are Oman | Unique | 1 200+ |
Ces formations impactent aussi le tourisme local, en témoigne l’écho sur Photographe polyvalent Alsace ou les conseils pratiques sur la réservation de photographes.
Phrase-clé : Enseigner, c’est célébrer un héritage vivant et enrichir la communauté photographique régionale.
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Perspectives et ambitions post-HIPA pour le Photographe de l’Année
Le titre de Photographe de l’Année n’est pas une fin, mais le début d’une nouvelle phase. Salim envisage :
- 🌊 Expansion aux cultures du Golfe.
- 🕌 Documentation des traditions des pays arabes.
- 📚 Création d’une archive visuelle multi-pays.
- 🤝 Collaboration avec institutions comme Qatar Museums.
| 🎯 Objectif | 🛠️ Moyen | ⏳ Horizon |
|---|---|---|
| Couverture Golfe | Ateliers locaux | 2026–2027 |
| Projets éditoriaux | Publications | 2025–2028 |
| Plateforme collaborative | Archives en ligne | 2027+ |
Pour suivre ces ambitions, découvre son actualité sur Photographe reportage ou son interview sur Oman Daily Observer.
Phrase-clé : Transformer une reconnaissance en moteur de projets durables, c’est là tout l’enjeu du Photographe de l’Année 2025.
Comment Salim Al-Hajri finance-t-il ses ateliers ?
Tous ses ateliers sont autofinancés, ce qui garantit son indépendance et la qualité de la transmission.
Quel est l’impact de son fonds d’archives ?
Avec plus de 6 000 images, il constitue une ressource précieuse pour la mémoire visuelle omanaise et arabe.
Où voir ses œuvres exposées ?
Ses photographies ont été présentées par des institutions comme Qatar Museums et relayées dans plusieurs médias spécialisés.
Quels projets après HIPA 2025 ?
Il prévoit d’étendre ses ateliers au Golfe, de lancer des publications éditoriales et de créer une plateforme d’archives en ligne.
Comment s’inscrire à ses prochains ateliers ?
Les informations seront publiées sur les réseaux sociaux de Salim et relayées par des sites partenaires comme Photographe Alsace.



J’adore cette façon de lier tradition et modernité à travers la photographie. C’est inspirant !
J’adore la passion de Salim pour la photographie ! Ses ateliers sont une vraie source d’inspiration.
Les ateliers de Salim Al-Hajri sont vraiment inspirants et transmettent une belle passion pour la photographie.