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Visa pour l’image : Gaëlle Girbes capture l’essence des Ukrainiens résilients au cœur des décombres

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Le festival Visa pour l’image 2025 à Perpignan met une fois encore le conflit ukrainien sous les projecteurs. À travers 26 expositions officielles et deux invitées, des photographes de renom partagent leurs regards sur des zones de guerre, des crises humanitaires et des actes de courage. Gaëlle Girbes y présente son reportage « Ukraine, survivre au milieu des ruines », une série de photographies documentaires qui révèle la résilience des Ukrainiens confrontés à la dévastation.

Visa pour l’image 2025 à Perpignan : mise en lumière du conflit ukrainien

Depuis le 30 août et jusqu’au 14 septembre, les visiteurs découvrent comment le photojournalisme peut donner à voir l’essence humaine au cœur de la guerre. L’exposition de Gaëlle Girbes se tient dans l’église des Dominicains, un écrin dédié à la mémoire et à l’engagement. Tu y verras des portraits intenses et des scènes de vie rare, issues de ses voyages dans la région de Donetsk et autour de Kharkiv.

  • 📅 Dates clés : 30 août – 14 septembre 2025
  • 📸 Nombre d’expositions : 26 + 2 expositions invitées
  • 🌍 Thèmes forts : conflit ukrainien, crises mondiales, résilience
  • 🏛️ Lieu phare : église des Dominicains de Perpignan
Élément Données 2025
Visiteurs attendus + 70 000 🎯
Projets Ukraine 7 expos dédiées 🇺🇦
Rencontres pro 150 conférences 🤝

L’édition 2025 est évoquée sur Phototrend et détaillée dans L’Indépendant. L’objectif reste le même : laisser la photographie documentaire rappeler le poids des images et stimuler l’engagement citoyen.

découvrez le travail saisissant de gaëlle girbes à visa pour l'image, qui révèle la résilience et l'humanité des ukrainiens à travers ses photographies poignantes prises au milieu des ruines.

Pour t’immerger dans l’ambiance du festival, voici une sélection de vidéos :

Ce premier aperçu t’aide à comprendre comment Visa pour l’image sert de plateforme majeure pour les récits visuels engagés. Tu as déjà une idée de la portée de cette édition. Prochaine étape : découvrir l’artiste derrière l’objectif.

Clé : chaque exposition est un pont entre photographe et public, permettant de sentir l’urgence humanitaire au plus près du terrain. 🔑

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Le parcours engagé de Gaëlle Girbes : de la photoreportage à l’action humanitaire

Avant d’exposer à Visa pour l’image, Gaëlle Girbes a fait ses armes comme photoreporter indépendante dès 2017. Son approche mêle témoignages visuels et interventions sur le terrain. Aujourd’hui, elle est à la tête d’une ONG qui achemine des cantines Tulipe dans l’est de l’Ukraine. Son double regard – artistique et solidaire – se retrouve dans chaque image, révélant la force du reportage de guerre.

Une formation axée sur l’humain

Tes choix de photographe se dessinent souvent lors des études. Gaëlle a suivi des workshops en Europe, guidée par des mentors du photojournalisme. Cette formation initiale lui a apporté :

  • 🎓 Des techniques de prise de vue en conditions extrêmes
  • 📚 Des enseignements sur l’éthique du reportage
  • 🗺️ Des missions « simulateur » pour tester la vie de reporter

De la photo à l’ONG

En 2021, elle fonde son association, inspirée par son expérience en Ukraine. Sa mission :

  • 🚚 Transporter des repas chauds à ceux qui survivent parmi les décombres
  • 🔍 Documenter la reconstruction et la résilience
  • 🤝 Créer un réseau de bénévoles et de partenaires locaux
Étape clé Lieu Année
Premier voyage photo Donetsk (Est) 2017 📌
Création ONG Tulipe Kiev 2021 🌱
Campagne cantines Kharkiv 2023 🚚

Ses projets ont été salués par LEEM et récompensés lors du prix Pierre-Alexandra Boulat. Tu observes ainsi comment son engagement se traduit en actions concrètes.

Pour un focus sur ses premières images en Ukraine, rends-toi sur Visa pour l’image et découvre son travail intimiste. Ces récits t’apprennent comment l’art et l’humanitaire peuvent converger pour servir une même cause. Clé : l’intention avant l’esthétique.

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Photographie documentaire et reportage de guerre : restituer l’essence humaine

La photographie documentaire en zone de conflit ne se contente pas de figer des ruines. Elle capte les émotions, les silences, les instants de solidarité. Gaëlle Girbes privilégie un style épuré, avec une attention portée aux détails : mains serrant un morceau de linoléum, regards d’enfants jouant dans une école désaffectée, silhouettes dans la poussière.

Techniques et choix artistiques

Pour atteindre cette intensité, elle joue sur :

  • ⚡ L’éclairage naturel pour un rendu brut
  • 🎯 Un cadrage serré sur les visages
  • 🔊 Le silence autour du sujet pour concentrer l’attention

Étude de cas : Kam’yanka

À Kam’yanka, près de Kharkiv, un incendie ravage les vestiges du village. Les mines et obus oubliés favorisent la propagation. Gaëlle arrive le 21 août 2024, capte l’urgence et la peur, mais aussi la détermination des rares retours d’habitants. Tu vois leur quotidien transformé : ils récupèrent du linoléum à l’école détruite pour isoler leur étable.

Élément Description
Contexte Incendie dû aux munitions 💥
Photographie Visages éclairés par la lueur des flammes 🔥
Impact Sensibilisation via réseaux 🌐

Pour approfondir ces techniques, consulte des articles tels que Sony Photography Awards 2025 ou découvre d’autres récits sur mangrove primée 2025. Ton œil s’affine : tu comprends comment chaque détail compte.

En somme, le reportage de guerre se doit d’être juste et respectueux. L’enjeu n’est pas de dramatiser pour l’émotion, mais de transmettre une réalité souvent ignorée. Clé : l’authenticité du témoignage visuel.

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Résilience et petites résistances : voix des Ukrainiens au milieu des ruines

Gaëlle Girbes a sillonné deux villages et deux villes dans les oblasts de Donetsk et Louhansk, où 30 % du territoire est dévasté. Avant la guerre, Vouhledar comptait 18 000 habitants. Lorsque les troupes russes s’en emparent en septembre 2024, ils n’étaient plus que 139. Cette hécatombe démographique forge un sentiment d’oubli. Les rescapés, comme Irina et Sergueï, relèvent la tête malgré l’absence d’eau et d’électricité.

Témoignages de survie

Les récits qu’elle recueille illustrent :

  • 💬 La douleur de l’exil intérieur
  • 🏚️ La reconstruction à partir de rien
  • ❤️‍🩹 L’entraide comme remède

Village libéré : exemples concrets

À Kam’yanka, le couple Irina-Sergueï dort dans l’étable, sur un sol isolé avec du linoléum. En hiver, ils risquent l’hypothermie. Gaëlle immortalise ce quotidien brutal mais fait aussi entendre leur voix : « On est oubliés du monde », affirment-ils.

Localité Population avant Population après
Vouhledar 18 000 🏭 139 👤
Kam’yanka 2 500 🌾 45 👥
Siversk 10 000 🔧 300 💔

Ces images sont exposées dans une salle voûtée, où le regard se concentre sur l’humain au milieu des ruines. Plus d’infos sur France Info et Visapourlimage.

Ces portraits sonnent comme un appel : ceux qu’on croyait “oubliés” ne baissent pas les bras. Clé : la persévérance en dépit de tout.

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Impact de l’exposition Ukraine, survivre au milieu des ruines : actions concrètes

L’exposition de Gaëlle Girbes ne se limite pas à une démonstration visuelle. Elle vise à susciter une mobilisation concrète : dons, partenariats, bénévolat. À Perpignan, des conférences et des ateliers sont organisés pour accompagner les visiteurs dans leur compréhension et leur engagement.

Appels à l’aide et partenariats

Les besoins recensés :

  • 🥫 Denrées alimentaires d’urgence
  • 🚰 Installation de pompes à eau
  • 💡 Générateurs et panneaux solaires
  • 🏥 Aide médicale de première urgence

Ressources et plateformes

Pour agir, tu peux :

Action Organisation Contact
Dons alimentaires ONG Tulipe [email protected]
Soutien logistique Resilience Aid [email protected]
Campagne photo Visa pour l’image [email protected]

L’expo s’accompagne d’un catalogue et d’une plateforme interactive. Pour te lancer immédiatement, visite SCAM ou passe à l’annuaire. Clé : agir ici et maintenant.

Questions fréquentes et réponses

Quel est le message principal de l’exposition de Gaëlle Girbes ?
L’expo souligne la résilience et la petite résistance des Ukrainiens vivants au milieu des ruines.

Où voir le travail complet de l’artiste ?
Dans l’église des Dominicains à Perpignan pendant Visa pour l’image ou en ligne sur visapourlimage.com.

Comment soutenir les populations photographiées ?
Via des dons alimentaires, du matériel ou un engagement bénévole auprès des ONG locales (ONG Tulipe, Resilience Aid).

Pourquoi ce reportage se distingue-t-il des autres recits ?
Il combine témoignages directs et interventions humanitaires, offrant un double regard artistique et solidaire.

Où trouver plus d’infos sur le festival ?
Sur Phototrend et L’Indépendant.

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